da Dans l’imaginaire collectif, le métier de ferrailleur est un peu flou. Souvent vu comme un travail « sale » exercé par « des voyous », sa mauvaise image lui colle à la peau.

Mais ce métier a énormément évolué au fil des années. Il est aujourd’hui beaucoup plus complexe, règlementé et contrôlé que le cliché présenté par le film Max le ferrailleur.

Zoom sur ce métier passionnant et complet en corrélation avec les enjeux climatiques.

Quand on parle recyclage, on pense au tri des ordures ménagères en premier lieu, mais il peut également s’agir des plus grosses pièces en matériaux ferreux et non ferreux.

Lorsqu’un professionnel ou un particulier se retrouve avec des déchets de métaux, il peut venir l’apporter sur site directement ou se faire débarrasser.

Une fois la collecte des déchets effectuée, le tri commence. Les différents métaux et composants des déchets sont triés avant d’être conditionnés.

Initialement les métaux étaient transportés dans leur formes originelles, avec les nouvelles techniques de conditionnement, les déchets sont maintenant compactés pour prendre moins de place au moment du transport. Dans cette logique d’optimisation, l’empreinte carbone est moindre.

Le métier de ferrailleur à bien évolué au fil du temps, c’est un métier qui demande des compétences diverses, bien loin de l’idée que l’on s’en fait le site de l’entreprise de gestion de déchets est bien tenu et organisé. D’ailleurs aujourd’hui nous ne parlons plus du métier de ferrailleur mais du métier de recycleur !

Le recyclage fait désormais parti des enjeux écologiques mondiaux avec des acteurs engagés et passionnés.